Qui suis-je en vérité ?

Qui suis-je en vérité ?    

« J’ai parfois l’impression de ne pas être moi-même, d’être différent selon les personnes avec qui je suis, la situation où je me trouve, à la maison, au travail, avec mes amis, mes parents… »

« J’ai le sentiment de ne montrer qu’une part de moi, que les autres ne me connaissent pas réellement et cela me trouble. »

Comment les autres pourraient-ils nous connaître vraiment, alors que nous-mêmes

Les messages contraignants

Les messages contraignants

« Sois fort ! un homme ça ne pleure pas!»

« Sois parfait ! tu n’as pas le droit à l’erreur! »

«Fais des efforts! ne t’écoute pas, ce n’est pas bien! »

Ces messages contraignants sont  là pour nous faire aller de l’avant mais ils nous mènent à la baguette et polluent notre vie personnelle et  relationnelle. Nous les avons hérités de notre éducation ou bien des expériences plus ou moins malheureuses de notre vie.

Ils sont la cause de stress car nous nous  les imposons malgré nous, mais ils sont  aussi la conséquence de stress car quelque chose nous pousse à y obéir.

A l’extrême, ils sont oppressants et épuisants. En prendre conscience peut nous aider à  nous  donner la permission de ne plus les subir, et d’en garder le positif pour les utiliser à bon escient.

De ces 5 messages contraignants, il y en a sûrement un ou plusieurs qui vous « colle à la peau », Quels sont-ils ?

Quel regard je porte sur l’avenir?

Quel regard je porte sur l’avenir?

Mourir et renaître

Un homme très pauvre dans un village avait un splendide cheval blanc.
Même les rois l’enviaient et lui en offraient un prix fabuleux.
Mais le vieil homme refusait et disait:
« pour moi ce cheval n’est pas un animal..c’est un ami..cela m’est impossible »!

Un beau matin l’animal n’était plus dans l’écurie..il avait disparu.

Quand il y a blessures…

Quand il y a blessures

Il était une fois un garçon avec un sale caractère. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d’en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu’il perdrait patience et se disputerait avec quelqu’un.

Le Premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les Semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c’était plus facile de se contrôler que de planter des clous. Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n’avait planté aucun clou. Son père lui dit alors d’enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n’aurait pas perdu patience. Les jours passèrent et finalement le garçon pu dire à son père qu’il avait enlevé tous les clous de la barrière.

Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit :